"Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa elllsolariez estremprai soleila siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa elllsolariez estremprai soleila Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa elllsolariez estremprai soleila siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé sondeaê sillllllllllll viiiiiiiiiallllllllééééé siiiiiiinnnnnnnonmitaêréa Idaiiie Idaiie Elsolitaré sombrilaliée omnisombralééééé "
La mélodie envellopait l’air pour s’y noyer. Les mots paraissaient sortir de la bouche d’un ange. Qu’elle était donc cette voix, si s’en était une.
Les animaux de forêt s’étaient arrêter pour écouter ces notes d’extase, et regardant le ciel comme si un dieu allait apparaitre, semblaient être envouter.
Le bruit des feuilles résonnait en parfait échos avec chaque syllabe enchanté. Comme si ce n’était un chant, mais un murmure de fée.
Les rayons du soleil allaient bientôt disparaitre derrière la lisère des arbres en laissant le ciel d’un bleu immaculé tenté d’ombres rouges sorties du firmament.
Le gnome se fondait tant bien que mal dans cette jungle elfiques, essayant de rejoindre au plus vite la grande capitale. Depuis qu’il avait posé le pied dans cette foret, il avait perçu un son étrange, venant de très loin, inconsciemment, il l’avait suivi, s’en rapprochant peu à peu, pour ne finir que par le suivre, comme aveuglé d’ivresse.
Une clairière illuminée par les derniers rayons de soleil lui laissa entrevoir avec délice une vison angélique.
Une ombre se dessinait dans le Puits de Lune regorgeant d’une lumière bleuté. Des vapes lumineuses s’en échappaient. L’ombre scintillante se trouvant au centre, ondulant tel une nymphe.
Le gnome écarquillait ses grands yeux violets. La bave aux lèvres, le cœur haletant, il s’approcha à tâtons, se cachant derrière des joncs sauvages. De ses petits doigts il écarta quelques brins pour pouvoir admirer la vison d’extase.
Nue au milieu de ce bain de lumière, il crut voir un ange.
Ses cheveux bleutés coulait jusqu’au bas de ses reins laissant entrevoir sa croupe innocente. L’ondulation de son corps, mêlée au son de sa voix donnait à l’instant une couleur de merveille.
Attiré par cette femme irrésistiblement, il essaya de s’approcher pour contempler la déesse. Maladroitement il réussi à se faufiler de l’autre coté du puits de Lune. Subjugué par la nudité de l’elfe, il trébucha sur des racines et atterri à plat ventre devant l’entrée du puits.
Son regard honteux croisa celui de l’innocence. La femme en un salto arrière se projeta dans les joncs pour cacher sa nudité.
_ Attendez M’mzelle ! Attendez ! J’voulais pas vous faire peur ! Oh vous z’etiez si belle ! *rouge de honte mais la bave toujours aux babines*
Le gnome se releva de terre et courru pour retrouver la jeune femme appeurée.
Elle s’était vétue d’une robe de feuille posée surement non loin. Ses paumettes avaient pris une teinte de rose.
Le femme s’inclina. Le chant avait cessé si brusquement qu’un vide béant se noyer dans les profondeurs de la foret. Elle se décida à parler.
_ Vous m’avez surprise petit être. Je pensais être seule. *voix suave et délicate*
_ J’n’voulais pas D’ame…j’ai été attractiré par v’otre chant. J’pouvais p’as m’empecher d’venir plus pres…et plus pres …et plus pres.
L’elfe sourit, l’air amusée par les grandes moustaches roses du gnome, et son petit air géné.
_ Oublions cela petit chou. Mon maître me dit toujours d’être plus prudente…et de ne jamais me baigner nue dans les Puits de Lune de notre mère. Mais l’air y est si doux qu’il me donne des ailes. *Soupir* Je me nomme Lyféa Lanaë. Je suis fille de la Nature.
Le gnome rougit en entendant les petits sobriquets dont l’affublait l’elfe.
_ Moi j’suis Papysitter. Joyeux gnominet d’Azeroth, venu rendre visite à une de ces cousines à Darnassus. Celle là a décidé v’la quelques années qu’elle en avait marre des nains, et s’est escamoté à Darnassus pour être en paix comme elle dit ! Alors j’suis v’nu lui dire bonjour, mais l’a fallu qu’j’traverse cette foret, comme j’avais pris l’mauvais bateau, qu’ensuite j’me suis trompé d’croisement, j’ai croisé un elfe qu’i m’a dit d’venir par ici, qu’c’tait l’chmin l’plus court qu’il a dit. M’voilà donc…
Un doux rire s’échappait des lévres de Lyféa, si tendre qu’il ne paraissait aucunement moqueur.
_ Je vais vous conduire en notre Belle Capitale petit bonhomme, nous ne sommes pas tres loin.
Ils se mirent en marche, le gnome restant toujours un peu à distance, pour pouvoir continuer d’admirer l’elfe sans trop se faire remarquer. Ils firent connaissance et lyféa fut conviée à diner avec la famille du gnominet. Au fil des discutions, le gnome la convia à venir prochainement visiter la ville de Stormwind en sa compagnie, ce qu’elle accepta.
Le lendemain, si excitée par l’idée de ce voyage, elle avait fait son balluchon, embrassant son maitre et lui promettant de passer voir Illiana pour qu’elle lui apprenne quelques complément sur son art du travail des plantes. Une longue route s’annonçait. Elle était prête et si heureuse.