Mes amis, la soirée de vendredi soir fut riche en émotion, laissez moi vous conter tout cela...
Après certains hauts ordres, l'ordre et moi même furent chargés d'aller chercher des bracelets magiques, ayant pour but de "Démoniniaquiser" Cronoir (Woaaa faut que j'arréte les [Cruche d'hydromel] moi !)
Selon ces même sources, ces bracelets se trouvaient sur une bête pas super civilisée nommée Arugal.
Alors que nos nobles compagnons et moi même partions pour cette longue et périlleuse quête -ben oui le ptit nounours Arugal se trouvait quand même dans la forêt des Pins Argentés, autant dire que cela s’annonçait réellement difficile…mais pas assez pour nous décourager !- Nous fimmes l’adorable rencontre d’orcs et de troll, apparement sans foi ni loi…(hrp : bref on s’est méchament fait campé et ceux en terres naines ! Mais que fait le Roi Magni! Un pantin jvous dit…un pantin…*marmonne* tous les mêmes ces nains…)
Ainsi, suivants Gézu, nous parcourrumumumes (Ahhhh mais c’est que c’est puissant ces boissons naines !) des Terres, toutes moins accueillantes les unes que les autres, si bien que l’on rencontra des pirates - au service du crapuleux (boss) des Mortes mines - et une bête plutot étrange…
Mais bien decidés à sauver cet intrépide Cronoir (ouais, il m’a marché sur le pied l’inconsient) nous décidâmes de continuer à la nage, derriére notre bon Gézu, maitre des Yins, et meme si nous fument embettés par des grands oiseaux (d’ailleurs Tixi s’en est mangé une grosse là bas
…) rien ne nous arrétait, nous, preux sauveurs de Cronoir et de ses crises démoniaques à couper l’envie de boire…(Ahahah Papa, maman, j’ai fait une rime ! Cronoir : boire… )
Bref, bref, trèves de /idiot nous fimes la connaissance des puissants mages, nobles défenseurs de la (toute riquiquite) cité de Dalaran, à ce jour encore en reconstruction.
Ainsi, nous progressâmes en terres mort-vivante, accompagnés de notre cher Cronoir et de ses crises Démoniaques…
Très vite, devant l’immmmmmensité et l’obscuuuuuuuuuurité des terres mort-vivantes, nous fumes dans l’obligations de nous séparer en deux groupes, Gézu et moi d’un coté et Tixi, Cronoir et Torquemala de l’autre.
Gézu et moi, progressâmes a travers ces terres mort-vivantes, non sans mal, jusqu’à trouver une grande grande grande grande grande grande, bref vous l’aurrez compris, très grande porte.
Cela semblait être un poste avancé Humain, bref nous n’en sauront pas plus.
Alors que nous avions trouvée la dite bête, je fus touché par une malediction, dont apparement, seule cette bête en avait l’obscure connaissance. Mais heureusement avec les soins de Gézu je me rétablis vite.
Alors que nous attendions nos vaillants camarades pour affronter cette obscure bête, nos dits camarades, furent la cible d’une embuscade Ô combien lâche des Yangs. Ils n’étaient pas nombreux, mais bien organisés (Grrmmmm Mardo tu ne perds rien pour attendre ! *sourie méchament*)
Ainsi après une course poursuite Yin-Yang tumultueuse et (parfois) Ô combien hasardeuse…(je sais pas pourquoi je dis ça, mais c’est cool…) Nos chers Yins reussirent à nous arriver saints et saufs. Même si ils étaient suivient par ces laches de Yangs, nous purrent aisément occir ce vil Arugal, récuperer les bracelets apparemment magiques et libérer Cronoir du Malin qui l’incarnait.
Mais, voilà. Les Yangs étaient là et après de nombreuses batailles, toutes plus périlleuses les unes que les autres, ils continuaient de nous bloquer le chemin. Et la fourbe Méduze, à la tête de cet ordre, (Tiens un molusque à la tête d’un ordre de crapaux…amusant…) réclamait Cronoir pour nous laisser passer (Dieu seul sait ce qu’elle voulait lui faire !)
Après de nombreux affrontements, tous plus périlleux les uns que les autres, (tiens je me répete, il est temps que je reboive un peu…) Hic…donc après tous ces combats tous plus cools les uns que les autres… nous reussiment à passer, et à laisser dans le vents ces inconsients de Yang.
Bref, Cronoir fut saint et sauf. Mais lors de cette nuit, il semblerait que Cronoir se soit absenté plusieurs fois, derriére des buissons, rejoindre une silhouette verte, gloussant, poussans certains petits cris aigus et des gémissement...